Le bilan énergétique pour le passeur d’âmes

D’autres éléments vont permettre de confirmer ces impressions. Le premier est la prise en compte du niveau énergétique de la personne à travers la fameuse échelle de Bovis qui aujourd’hui est régulièrement représentée dans un demi camembert (abaque en terme radiesthésiste) avec une échelle allant de 0 (qui correspond à la mort) à 18.000 qui correspond à une pleine énergie (même si le niveau énergétique de la terre entraîne l’utilisation d’une nouvelle échelle allant jusqu’à quelques millions d’Angstrom).

 

Ce quincailler niçois cherchait à l’origine à déterminer grâce au pendule le sexe des œufs puis leur niveau énergétique avec une règle graduelle. La séparation entre une énergie basse et une énergie haute se situant aux alentours de 6.500 communément appelées aujourd’hui Unités Bovis (UB) pour désigner les Angström. Ce cadran ou cette règle permet de connaître le niveau énergétique de la personne (ou des lieux, objets, animaux, plantes…) à travers la question que l’on se pose régulièrement du « Comment ça va ? » mais dont la réponse est proposée indépendamment des conventions sociales et du fameux « ça va » qui ne veut rien dire. Le stage passeur d’âmes va permettre de découvrir et comprendre cet élément. La formation passeur d’âmes enseignée au Centre de formation de l’ermitage est essentiel dans cet apprentissage.

 

Lorsque le taux énergétique est inférieur aux 8.000 UB (6.500 UB il y a quelques années mais le taux de la terre augmentant, le taux « moyen » suit également), c’est qu’il y a quelque chose qui énergétiquement ne va pas. Cela peut être une fatigue passagère, une petite maladie, un état dépressif… ou la présence d’éléments qui viennent nous pomper notre énergie (dont la nature n’est pas encore identifiable pour le moment). Ce critère est un deuxième élément permettant de juger de la présence d’une énergie. Mais on tient toujours garde de ne pas faire l’amalgame : mauvais niveau = présence d’une énergie sur la personne.

 

Une fois l’intervention réalisée, la reprise du taux énergétique va permettre d’en constater son évolution positive.

 

1. Utiliser ses dons

Après avoir une présomption à travers différents éléments extérieurs, il faut trouver une confirmation à ce que l’on recherche. Sans être un médium, Il existe certaines facultés qui vont au-delà de nos cinq sens que l’on peut développer pour appréhender ces phénomènes. Avec de l’entraînement, vous allez rapidement devenir sensible à vos ressentis et travaillerez avec sans même y faire attention.

Il s’agit de la clairvoyance qui permet à des personnes de percevoir des phénomènes au-delà des sens habituels. La personne clairvoyante se connecte avec les énergies et ressent tout autour d’elle : des flashs, des images, des objets… qui peuvent ne pas vous parler mais qui vont faire échos chez la personne : un chien noir (qui était celui que votre grand-père affectionnait particulièrement), une cuisine (qui était le lieu où se trouvait toujours votre grand-mère), une odeur de tabac (qui était caractéristique de celle de votre oncle qui est mort l’année dernière) …

L’autre faculté qui peut être mise en place est la clair audience qui permet de capter des messages provenant d’autres plans : des mots ou des sons, des messages… : un « enfin » lorsque l’âme en a marre d’être présente auprès de la personne et voit son moment de libération arriver, un « Bonjour », un son de cloche, de guitare… qui était le symbole de l’être cher disparu.

Ecoutez également vos sensations : une douleur dans le dos, un point qui vous chatouille… qui sont le signe d’une présence. Ils seront toujours les mêmes et vous permettront d’être directement en phase avec votre travail. Il ne faut pas chercher à tout prix à les avoir car en se focalisant sur eux rien ne viendra. Faites le vide dans votre tête et ils viendront tout naturellement.

Les dons de médiumnité vont permettre à ce niveau non seulement de découvrir mais également d’échanger avec les âmes. Cette faculté n’est toutefois pas un préalable au travail du passeur d’âmes. Et si vous ne l’êtes pas et n’avez aucun « don » particulier, voici comment confirmer les choses.

2. Un moyen de détection

L’élément le plus aisé à utiliser et le plus accessible pour le plus grand nombre consiste à utiliser un moyen de détection type pendule ou baguette de sourcier dans sa version ancienne (en Y ou en L) ou dans sa version moderne (Antenne de Lécher, Baguette Abeille)…

3.     Les questions vont être simple.

En parlant par exemple d’une âme sur une personne (mais la question peut être la même pour une âme errante, une âme dans une maison… « La personne devant moi a-t-elle une ou plusieurs âmes accrochées à elle ? ». La réponse Oui entraîne une seconde question pour en déterminer le nombre. « Combien d’âmes possède la personne devant moi ? ». La réponse ici ne va pas être en oui ou non mais en nombre. Il existe plusieurs moyens pour en déterminer le nombre :

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Poser la question au pendule pour tous les nombres possibles jusqu’à obtenir le bon chiffrage : « Est-ce que la personne devant moi a une âme accrochée sur elle ? ». La réponse sera oui puis continuer : « Est-ce que la personne devant moi a deux âme accrochée sur elle ? » Une nouvelle réponse positive entraînera la question suivante : « Est-ce que la personne devant moi a trois âme accrochée sur elle ? ». Si la réponse est négative, cela indique que le nombre d’âmes présentes sur la personne est de deux. Une question de confirmation est à poser : « Est-ce que la personne devant moi a bien deux âmes sur elle ? » et la réponse doit être oui.

ü  Il est également possible d’utiliser un cadran avec des chiffres de 1 à n et de poser la question : « Combien d’âmes sont accrochées sur la personne ? » et le pendule indiquera le nombre correspondant.

Vous disposez donc de nombreux outils pour vous assurer de la présence d’une âme, que ce soit dans un lieu ou sur une personne : l’explication de situations « anormales », vos ressentis, le cadran de Bovis et/ou l’utilisation du pendule/baguettes. Avec l’expérience, vous en utiliserez peut-être plus qu’un ou deux et la certification d’une présence se fera de plus en plus rapidement (quelques secondes).